Une troisième guerre mondiale a vu le jour. Mais tout ne s’est pas passé comme prévu.
Dans le but de survivre, toutes les puissances armées ont tenté de mettre au point une nouvelle arme ; le nucléaire aurait détruit la planète, détracteurs y compris. Mais un Japonais mit au point une arme chimique radicale.
La seule protection ? L’eau. L’élément aqueux.
Le pays veilla à ce que personne ne soit mis au courant. Toutefois, quelques généticiens eurent la brillante idée de kidnapper des femmes dans d’autres pays, le temps que l’arme soit parfaitement mise au point. Après tout, qui aurait remarqué la disparition d’une femme ou deux dans cette atmosphère tendue ? Personne.
Une centaine de femmes fertiles furent ainsi parquées par les scientifiques Japonais pour repeupler la Terre. Femmes et enfants nippons se retrouvèrent également enfermés dans une structure sous-marine, cette dernière n’ayant aucune existence officielle.
Les scientifiques, militaires et politiciens laissèrent la population masculine dans l’ignorance.
30 ans après l’utilisation de l’arme, les survivants Japonais refirent surface, heureux de constater l’absence de tout rescapé. Le monde n’était pas si différent, à l’exception de la nature qui avait repris le dessus.
Les scientifiques, quant à eux, avaient déjà commencé à repeupler la terre, au fond de l’eau.
Les hommes reprirent leurs vies d’avant, mais… quelle ne fut pas leur surprise en découvrant un groupe assez important de survivants. Les rares femmes furent tuées. Quelques hommes furent attrapés pour la recherche, questionnés pour savoir comment ils avaient survécu. Les autres furent enfermés dans ce que l’on pouvait appeler communément un dérivé de maison close…
Au fond de la structure sous-marine, les femmes ne servaient plus qu’à la reproduction. Sur terre, les hommes n’avaient donc plus aucun plaisir, plus personne à détruire.
Sauf eux.
Les rescapés…